Luigi Boccherini produced only a modest amount of sacred music. We know, however, that he wrote sacred works throughout his life. The work which most of all represents Boccherini’s vocal output in the eyes of the wider public is the Stabat Mater G. 532. It is the original version of the Stabat Mater composed in 1781and scored for soprano and string quintet which is recorded here.
The Quintet op. 45 No.1 featured on this disc is an unfamiliar work. It was written during March 1792, at which time Boccherini was employed as composer to the court of King Friedrich Wilhelm II of Prussia. Referred to as an “Opera Grande” according to Boccherini’s classification, the piece is considered to be one of the maturest works of Boccherini’s German period: at a time of significant development in the string quintet, the composer attains a rare harmonic and melodic balance in which the two cellos, never doubling one another, attain an almost symphonic autonomy that erases all trace of their one-time continuo role.
La musique sacrée de Luigi Boccherini n’occupe qu’une part très restreinte de son œuvre. L’on sait cependant qu’il écrivit des pièces à caractère sacré tout au long de sa vie. L’œuvre qui, plus que toute autre, représente la production vocale de Boccherini auprès d’un large public, est le Stabat Mater G. 532. C’est la version originale de ce Stabat Mater, pour une voix soliste et ensemble de chamber qui fut composée en 1781 à l’intention de Don Luis de Bourbon qui est enregistrée ici.
Le Quintette op. 45 n°1 est une œuvre peu connue. Il fut écrit par Boccherini durant le mois de mars 1792, à l’époque où il était employé à la cour de Frédéric Guillaume II, roi de Prusse. Définie comme “Opera Grande” par la classification boccherinienne, ce quintette est considéré comme une des œuvres les plus mûres de la période allemande de Boccherini: à une époque de développement majeur du quintette à cordes, le compositeur atteint ici un équilibre harmonique et mélodique rare, où les deux violoncelles, sans jamais se redoubler, conquièrent une autonomie d’ampleur Presque symphonique, et effacent de fait toute trace de basse continue.